Les 6 mystères du chat

1. Pourquoi la langue du chat est-elle râpeuse ?

Les papilles, semblables à du papier de verre, servent pour la toilette. Les papilles gustatives sont situées sur l’extrémité, les cotés et le fond de la lange. Elles sont réceptives aux goûts salé, amer et acide, mais pas au goût sucré.

2. Le chat voit la vie... en bleu

Le chat perçoit le bleu et le vert, mais pas le rouge. Il fait la mise au point au centre de l’image, les contours demeurent flous.

3. Le nez du chat est surpuissant

Le chat sent systématiquement tout ce qu’il a sous le nez.

Il renifle pour obtenir des informations sur la nourriture, la présence d’autres chats ou un danger potentiel. Il est attiré vers la nourriture par son odorat et non par son sens du goût.

Le nez du chat est pourvu de deux fois plus de récepteurs olfactifs que les humains !

4. Pas touche à ses moustaches !

Il ne faut jamais couper les moustaches d’un chat, car votre félin risque de se cogner aux objets, et même si elles repoussent, elles sont un allié précieux pour lui.

La plupart des chats sont dotés de 24 vibrisses ou moustaches.

Les moustaches du chat ont de nombreuses terminaisons nerveuses. Lorsqu’elles frôlent des objets, les terminaisons reliées au nerf optique transmettent des messages au cerveau. Les vibrisses captent même le mouvement de l’air. La nuit, elles permettent au chat de se déplacer sans danger.

5. Plus c’est chaud, plus c’est bon

Les chats adorent a chaleur et supportent bien mieux les températures très élevées.

Au-delà de 44°C, nous commençons à nous sentir mal, mais pour les chats, il faut que leur peau atteigne les 56°C pour les incommoder.

6. Le chat interprète les phéromones

Les chats disposent d’un décodeur bien pratique : l’organe de Jacobson.

Cette annexe de l’appareil olfactif est située dans le palais dur entre les cavités nasale et buccale. Lorsque le chat se trouve en présence d’une éventuelle marque olfactive, il adopte un comportement particulier qui lui permet de faire rentrer un maximum de phéromones au contact de l’organe de Jacobson.